Règlement de compte à OK Corral… Dans une interview donnée à France 3 Bourgogne, SEB se défend des accusations lancées par le fondateur d’Angell et lui met un petit tacle au passage.
Le feuilleton de la faillite des vélos Angell vire au drame. Après les accusations de Marc Simoncini (fondateur d’Angell, mais aussi de Meetic, et également connu pour ses apparitions dans l’émission « Qui veut être mon associé ? ») contre SEB (assembleur des vélos), SEB lui a répondu par l’intermédiaire de France 3 Bourgogne, région natale du groupe d’électroménager.
Après s’être déclaré “d’aucune façon responsable des défauts affectant vos vélos, et ne souhaitant pas prendre part à la recherche d’une solution”, le groupe ajoute par la voix de Cathy Piano, porte-parole de la marque, que “On a fait tout ce qu’on a pu. On a accompagné le maximum qu’on pouvait”.
Et puisque la meilleure défense, c’est l’attaque, SEB ajoute qu’Angell est loin d’avoir tenu la promesse de vendre 20 000 vélos par an, puisqu’il ne s’est écoulé qu’une moyenne de 1 000 vélos par an sur les cinq dernières années ; un résultat bien loin des chiffres annoncés par Angell au début de l’aventure. Le groupe SEB ajoute que cela ne l’a pas empêché de continuer à soutenir le projet jusqu’au bout.
La guerre est officiellement déclarée, et l’on attend à présent la réaction du troisième intervenant, Kickmaker, concepteur du vélo, également assigné en justice par Angell.
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