La marque du groupe BMW a choisi la PME française Angell pour concevoir et industrialiser sa gamme de vélos à assistance électrique. Le premier modèle sera présenté à l’automne.
Comme d’autres constructeurs avant lui, Mini fait à son tour son entrée dans l’univers du vélo à assistance électrique. Ce jeudi 2 mars, la marque du groupe BMW a officialisé un partenariat avec la marque française Angell pour la création d’une première gamme de vélos électriques baptisée MINI Bikes.
Étalé sur cinq ans, ce partenariat s’appuiera sur le site industriel de Seb à Is-sur-Tille, près de Dijon, où Angell assurera la conception et l’industrialisation des futurs vélos électriques Mini.
Sans donner à ce stade de détails quant au design et à la configuration des futurs vélos électriques Mini, les deux partenaires confirment le développement d’une gamme complète qui, dans le prolongement de l’offre Mini sur le segment auto, sera axée sur une gamme de vélos électriques urbains premium.
Le premier vélo Mini sera officiellement présenté dans le courant de l’automne. « Si le premier modèle sera très fortement basé sur le vélo Angell, les suivants seront codéveloppés avec Mini » nous confie John Mollanger, CEO de Angell Mobility. En d’autres termes : du « rebadgé » pour commencer et un développement plus poussé par la suite avec des modèles plus proches de l’ADN et de la philosophie Mini.
Selon le communiqué commun des deux partenaires, les canaux de distribution des vélos électriques Mini restent encore « à définir ». Si les concessionnaires devraient naturellement avoir la possibilité de commercialiser les modèles de la marque, Angell pourra également utiliser ses propres canaux de distribution.
Rendez-vous dans quelques mois pour connaitre en détails les prix et caractéristiques du premier vélo électrique Mini by Angell.
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