Test Navee S60 : que vaut cette trottinette électrique inspirée du Tesla Cybertruck ?

Navee S60

Un design inspiré du pick-up électrique de Tesla, un moteur volontaire avec une puissance de crête de 1000 Watts, une batterie promettant près de 60 km d’autonomie ou encore une conception robuste et bien pensée avec une double suspension et des freins mécaniques à l’avant et l’arrière… la Navee S60 s’annonce comme un excellent partenaire de route, mais l’est-elle vraiment ? Verdict après notre test.  

À peine annoncée, elle est déjà en test sur Cleanrider. C’est, en effet, ce 10 juin que le constructeur Navee a levé le voile sur sa nouvelle trottinette électrique S60. À vrai dire, deux trottinettes ont été annoncées, les Navee S40 et S60. C’est cette dernière, la plus performante des deux, que nous avons pu tester en avant-première. C’est pourquoi nous sommes aujourd’hui en mesure de vous livrer les conclusions de notre essai sur ce modèle qui s’annonce comme un rapport qualité/prix prometteur.

À moins que notre optimisme nous joue des tours après la découverte et le test de la trottinette Navee S65C, pour laquelle nous gardons encore de bons souvenirs, dont cette Navee S60 semble assez largement inspirée. Place à notre verdict.

Navee S60

Navee S60 : Caractéristiques techniques 

Commercialisée à 699 euros, la Navee S60 profite avant tout d’une conception à deux suspensions dite « ShockMaster », qui à nos yeux, fait une énorme différence pour bien des raisons évidentes. L’autre argument mis en avant par Navee porte sur le design assez soigné, que la marque nous décrit (modestement… bien sûr) comme étant inspirée du Tesla Cybertruck. L’occasion de labelliser la chose en lui donnant le petit nom « Cyberpunk Design ».

Design et confort seraient donc au programme sur cette trottinette équipée de grandes roues de 10 pouces tubeless.

La suite de la fiche technique laisse également penser que Navee à fait d’autres bons choix. À commencer par le choix d’un moteur d’une puissance nominale de 500 W pouvant délivrer jusqu’à 1000 W de puissance en crête. La batterie Lithium-Ion de 48 Volts et 10,2 Ah offrirait une autonomie comprise entre 40 et 60 km en fonction de la vitesse moyenne. La S60 de Navee a d’autres atouts à faire valoir, faisons le point tout au long de notre essai.

Confort et ergonomie


Compte tenu de sa conception et de son design, vous comprendrez rapidement que la S60 n’est pas une trottinette électrique qui s’adresse aux utilisateurs dont la priorité sera d’acheter un compagnon de route facile à plier ou léger à porter pour gravir quelques marches, par exemple, dans une utilisation multimodale.

Elle est assez lourde, 25 kg, et plutôt imposante. Comptez 1,19 m de haut, 61 cm de large et 1,28 m de long lorsqu’elle est dépliée et 60,5 cm de large, 1,28 m de long et 56 cm de haut lorsqu’elle est pliée. La procédure de pliage est simple et très classique. Navee fait à nouveau le choix d’utiliser une partie de la sonnette pour verrouiller le guidon sur un crochet présent au-dessus de la roue arrière. La bonne nouvelle, c’est que ledit crochet est en métal. Il est soudé à une plaque qui fait d’ailleurs office de repose-pied. Le constructeur fait ainsi d’une pierre deux coups et résout les risques de casse du crochet en plastique, mais aussi du garde-boue arrière que bon nombre de « trotteurs » utilisent encore pour caler une semelle alors qu’il n’est pas prévu pour. Bien vu !

Attention, le crochet de la sonnette pourrait lui ne pas encaisser les mauvais traitements dans le temps. Par ailleurs, il ne sera pas toujours simple de déverrouiller le guidon avec ce petit mécanisme peu accessible, mais vous vous y ferez sans doute. De plus, lorsque la colonne de direction est ainsi repliée, elle se retrouve désaxée par rapport au deck, ce qui lui confère une géométrie à la S60 à première vue pas franchement idéale. Mais sous ce côté un peu biscornu, il nous faut reconnaitre l’intention ici de dégager de la place sur l’un des côtés de la trottinette, sans doute celui duquel vous serez pour la porter à bout de bras – si vous êtes droitier.

Alors que nous avons traversé en Île-de-France une période de plusieurs semaines où les pluies ont été quotidiennes, le beau temps est de retour pour les tests de la Navee S60. De quoi se plaint-on nous direz-vous ? Et bien les routes détrempées nous auraient permis de nous faire une idée de sa tenue de route en de telles conditions. Surtout, nous aurions levé ou confirmé le doute que provoque chez nous la conception du garde-boue à l’arrière. Celui-ci affiche une drôle d’ouverture d’un intérêt discutable et via lequel on imagine très bien qu’un long trajet sous la pluie pourrait donner lieu à des projections d’eau dans le bas des jambes.

En plus de cette petite plaque de métal bien pratique pour y appuyer un pied, la Navee S60 offre profite d’un large deck (46 x 17 cm). Celui-ci permet de disposer ses pieds comme on le souhaite pour trouver une position de conduite stable et confortable.

Un design façon « Cybertruck »

Jusqu’ici dont la conception semble robuste à tout point de vue, jusque dans la section des tubes choisi pour la conception. Nous reviendrons sur la qualité de la double suspension qu’on nous promet comme étant 35 % plus performante que les amortisseurs à ressorts traditionnels, mais la conception de celle-ci impacte directement le style de la trottinette. Et c’est plutôt positif puisque la trottinette électrique Navee a plutôt « belle gueule ». De là à appuyer la référence au Tesla Cybertruck… très peu pour nous. En tout cas, on apprécie la qualité du revêtement choisi pour le deck qui offre un très bon grip.

Malheureusement, comme nos photos l’illustrent, il est aussi assez salissant et ce n’est pas le seul élément ainsi.

En effet, les éléments qui habillent les bras de suspension à l’avant et l’arrière retiennent très bien les poussières de la route. Et pour cause, ceux-ci ne sont pas des caches en plastique dur, mais des habillages en caoutchoucs, souples et à la surface adhérente. Nos impressions sont mitigées. Essentiellement en raison du fait qu’ils soient un peu trop salissants, mais rien qu’un coup de jet d’eau ou de balayette ne saurait résoudre.

Puis notre manque de recul nous pousse à nous interroger sur leur durée de vie dans le temps. Ne vont-ils se déformer pour finir par prendre du jeu et tomber à chaque trajet/bosse. Ne vont-ils pas se craqueler sous l’effet du froid (pour les trotteurs 4 saisons) ou les UV d’un soleil de plomb en été ? Autant de questions auxquelles nous sommes incapables de répondre, mais pour lesquelles, on l’espère en tout cas, vous serez couvert par la garantie de la trottinette (ou pas ?) et plus tard, par des pièces de rechange proposées par le constructeur (ou pas ?).

Enfin, avec un peu d’optimisme, on se dit que finalement ces parties permettent au constructeur de proposer un habillage qui souffrira peut-être moins des rayures ou des petits chocs du quotidien. Le caoutchouc aura tendance à se déformer plutôt que se briser. S’il fallait se convaincre que c’est une bonne chose, on reconnaîtrait que le choix d’un tel matériau pour habiller cet endroit-là de la trottinette est une très bonne idée ! Et oui, pas de plastique rigide, pas de vibrations. Pas de vibrations, pas de craquements… moins de bruits au roulage ! Et dans les faits, ça fonctionne : c’est testé et approuvé.

De bonnes intentions, pas toujours bien concrétisées 

Si vous avez été attentifs, peut-être avez-vous remarqué que la largeur du guidon (61 cm) de la S60 est au-dessus de la moyenne. Cela s’explique par la présence d’embouts incluant des clignotants. Sur le papier, c’est une bonne nouvelle, d’autant que ceux-ci s’activent par une commande accessible par le pouce gauche via un petit boîtier de commande proprement intégré. Toutefois, nous avons noté quelques soucis.

Le premier – peut-être très personnel – c’est que les touches du boîtier de commande sont un peu trop sensibles, ou plutôt, elles opposent assez peu de résistance. De fait, même en laissant le pouce juste posé dessus, il n’est pas rare de presser une touche par erreur. Rien de bien grave, d’autant que vous êtes immédiatement alerté par un « bip bip » continu, assez agaçant d’ailleurs,  qui signale qu’un clignotant est activé.

Ce qui est un peu frustrant, c’est qu’en raison même de la conception de la trottinette, ces clignotants sont finalement assez peu visibles si vous êtes large d’épaules – comme c’est notre cas. Tout du moins en journée, car dès que la nuit tombe, l’intensité lumineuse de ces petites diodes jaunes ne passe carrément pas inaperçue. Ainsi, la solution aurait été plus pertinente encore s’il y avait eu un report des clignotants à l’arrière.

Notre frustration est plus importante lorsqu’on s’intéresse à l’écran. Celui-ci mesure 12 cm de large par 4,5 cm de haut… enfin, c’est la taille du bloc noir. Dans les faits, l’affichage lui-même occupe bien moins de place et, surtout, les informations sont minimalistes. On y trouve l’affichage des clignotants, de l’allumage des phares, ainsi que la vitesse, le mode de conduite et la jauge de la batterie. Avec une telle surface d’affichage, on ne comprend pas qu’il ne soit pas possible d’afficher ne serait-ce qu’un odomètre pour en savoir plus sur les distances parcourues.

Nous trouvons cela un peu limite, presque trompeur pour les clients qui verraient cette trottinette en magasin et pourraient se dire que l’affichage va être grand, complet, voire même moderne. Ce n’est pas le cas et c’est d’autant plus regrettable que cet écran de 12 cm, qui pourrait se contenter de moitié moins de largeur –  ne laisse quasiment pas de place sur le guidon pour y accrocher un support smartphone pour ceux qui souhaiteraient utiliser une application GPS.

Plus étonnant, si on peut dire, c’est qu’on remarque sur le site du constructeur que l’écran peut également afficher des alertes en cas de chauffe moteur ou de défaut de pression des pneus. Si le voyant de maintenance ou de chauffe n’est pas simple à déclencher manuellement, pour la pression des pneus, il est assez simple de le vérifier. Nous nous sommes exécutés en dégonflant totalement les deux pneus, mais rien n’est apparu à l’écran de la trottinette, même après quelques tours de roues à son guidon. Dommage, une telle fonctionnalité aurait été une première pour nous et même un énorme point fort pour une trottinette à moins de 700 euros.

Enfin, dernier atout et non des moindres, Navee a intégré cette trottinette électrique au réseau Find My d’Apple ce qui permet au propriétaire de l’engin de le localiser facilement en cas de besoin.

Au guidon de la Navee S60

Au guidon de la Navee S60, les différents atouts cités plus avant concernant le confort se vérifient rapidement. Le confort n’est pas légendaire et nous ne validons pas les propos de Navee qui nous annonce son système « ShockMaster » comme étant 35 % plus performant que les systèmes à ressort. La trottinette de Navee filtre correctement les défauts légers de la route, mais nous ne l’avons pas trouvée particulièrement meilleure que d’autres modèles équipés d’un amortissement à l’avant et à l’arrière.

Mais ne boudons pas notre plaisir. La S60 s’en sort bien et le confort est là, agrémenté de larges pneus de 10 pouces x 2,5 pouces avec des flancs généreux qui mettent vraiment à l’aise par leur bonne tenue de route. La gomme est plutôt tendre et le grip est bon, mais attention, lorsque les freinages sont appuyés, le pneu arrière a tendance à sautiller, rallongeant un peu la distance de freinage. Une critique dont nous allons toutefois temporiser sur ce modèle neuf, aux pneus qui devraient se bonifier un peu avec du rodage.

Concernant le freinage, Navee propose un double système de freins à tambour qui constitue un bon choix selon nous. Certains auraient préféré des freins à disque et cela peut s’entendre. Néanmoins, la solution proposée est efficace, assez précise, certes un peu moins progressive, mais elle présente aussi l’intérêt de ne pas souffrir de performances dégradées sous la pluie ou routes mouillées. Il ne nous est pas rare de remarquer ce genre d’aléas lors de nos trajets sous ces conditions météo.

La bonne largeur du deck permet de trouver une position confortable pour les pieds alors que l’angle de la colonne de direction et la hauteur de 103 cm du guidon (par rapport au deck) se sont avérés parfaits pour nous. Le guidon ne revient pas trop en arrière (c’est parfois le cas), dégageant ainsi les bras pour manœuvrer facilement, tout en conservant une posture impeccable pour le dos.

En revanche, nous ne sommes toujours pas fans de poignées rigides comme celles-ci. Elles ne sont pas particulièrement agréables et transmettent un peu trop les petites vibrations des revêtements. C’est clairement un point perfectible selon nous qui peut toutefois être corrigé par le port de gants, comme nous avons souvent l’habitude de le recommander. Une paire de gants pour le vélo peut faire l’affaire, mais opter pour un modèle avec une protection au niveau de la paume, vous ne le regretterez pas.

Une trottinette électrique polyvalente et volontaire

Outre ce confort très appréciable, on se sent plutôt en sécurité au guidon de la S60. D’abord en raison de la bonne tenue de route de ses pneus et son bon amortissement, mais aussi en raison de sa puissance. Le moteur de 500 W a su se montrer étonnament vif lors de nos tests. Celui-ci est intégré dans la roue arrière et réagit à la moindre pression sur la gâchette d’accélérateur. Pour notre plus grand plaisir, il s’est montré particulièrement volontaire… pour un moteur de 500 watts.

Les longs dénivelés positifs de notre parcours de test passent inaperçu à son guidon. Elle atteint sa vitesse maximale de 25 km/h sans difficulté en une poignée de secondes et la tiendra tout du long malgré notre poids de 85 kg. Les relances sont plutôt rapides, ce qui permet parfois de se dégager de situation inconfortable au milieu du trafic. L’impression de confort et d’une bonne tenue de route est telle qu’on trouve forcément cette limitation à 25 km/h un peu ennuyeuse. Un agrément de conduite qui restera entier, jusque dans les derniers kilomètres parcourus et cela, ce n’était pas gagné d’avance, car la perte de puissance dès que le niveau de la batterie chute à moins de 30 % est un phénomène assez fréquent.

Dernier point intéressant à noter : le phare à l’avant s’active via un bouton sur le guidon. Il est, lui aussi, alimenté par la batterie de la trottinette. Vous n’aurez donc pas à vous préoccuper d’une quelconque pile à changer. Sa luminosité est satisfaisante et il est monté sur un support pivotant ce qui permettra d’ajuster un peu l’orientation en cas de besoin.

Autonomie et recharge

Comme toujours, notre essai s’achève sur un bilan concernant l’autonomie de la trottinette. On ne le répètera sans doute jamais assez, mais celui-ci peut considérablement changé en fonction du profil de routes, de la morphologie de l’utilisateur et de la météo.  Nos essais ont été menés durant une journée plutôt clémente, avec une température d’environ 18 degrés. Notre parcours de test comporte quelques dénivelés positifs plus ou moins important, parfois de jolies pentes assez courtes, mais raides et d’autres moins violente, mais sur plusieurs kilomètres et sur un revêtement abîmé qui ne met généralement pas les engins testés très à l’aise. Sans surprise, nous sommes très loin de la promesse du constructeur qui mentionne 60 km, mais sur un cycle réalisé dans des conditions idéales avec une vitesse stabilisée à 15 km/h.

La capture ci-dessous provenant de l’application mobile nous permet de constater que nous avons parcouru près de 24 km en une heure environ, et qu’il nous reste encore 27 % de batterie. A ce stade, les performances n’étaient nullement dégradées et le BMS devraient les maintenir jusqu’à 20 % . Quoi qu’il en soit, nous sommes rentrés, car l’écran de la trottinette n’affichait plus qu’une seule brique sur la jauge de la batterie. Finalement, nous avions encore un peu de marge si on en croit l’application.

De fait, nous estimons sans mal que la S60 saura dépasser les 30/35 km d’autonomie avec un utilisateur d’une corpulence sensiblement proche de la nôtre. Un utilisateur d’environ 70/75 kg devrait pouvoir atteindre les 40 km, ce qui serait une performance assez classique pour une batterie 48 Volts 10.2 Ah – et qui collerait finalement avec la promesse de Navee à une allure moyenne de 25 km/h.

Nous ne nous attarderons pas sur l’application mobile qui se limite aux fonctionnalités basiques et qui souffre encore d’une erreur de traduction avec ce « reichweite » sur le module représentant les kilomètres parcourus. À noter que nous avons activé le maximum de frein moteur à la relâche de l’accélérateur, mais que cela n’a pas suffi à rendre l’engin franchement plus endurant pour autant. C’est néanmoins une option intéressante qui permet de décélérer suffisamment à l’approche de bien des situations sans user de garniture de frein.

Enfin, concernant la recharge, il faut s’y faire, mais sur ce type de produit, il ne semble pas envisageable de profiter de bloc secteur offrant une charge rapide. Nous sommes là sur un bloc de 70 watts (53,6 volts – 1,3 A) auquel il faut environ 8h pour refaire le plein de la trottinette. Un bloc de charge que nous aurions aimé plus puissant, mais qui présente néanmoins l’avantage du confort d’utilisation. La grande longueur de câble de 2,8m peut sembler être un détail. Mais à l’usage, cela fait une différence sur la facilité d’accès à la recharge.

Cette longueur de charge est très frustrante. Car compte tenu de l’agrément de conduite et du plaisir (d’une certaine manière) que procure cette trottinette, on l’imagine très bien devenir un moyen de transport pour vos trajets professionnels en cette période estivale, mais son temps de recharge pourrait poser des problèmes pour quiconque n’aurait pas assez de temps au bureau pour refaire le plein afin de rentrer le soir.

Essai Navee S60 : notre bilan

NOTE GLOBALE
Confort & ergonomie
Conduite
Autonomie

Avec des poignets un peu plus confortables, un large écran couleur un peu mieux exploité ou encore un chargeur un peu plus rapide, la Navee S60 auraient fait un sans faute, en tout cas pour un produit à ce niveau de tarif. Les pneumatiques de 10 pouces tubeless ont su montrer leur intérêt, comme les suspensions à l’avant et à l’arrière de la trottinette. Le moteur s’est avéré polyvalent et volontaire alors que le freinage mordant mets lui aussi en confiance. La tenue de route est bonne, grâce à belle bande de roulement de ses pneumatiques en 10 pouces, mais grâce aussi à un châssis qui robuste qui sait encaisser.

En quelques mots, pour conclure, c’est pour toutes ces raisons que nous recommandons à nos lecteurs en quête d’un produit bien conçu, de considérer cette trottinette électrique Navee. Mais attention, si vous n’avez pas l’occasion de la tester avant, souvenez-vous qu’elle pèse près de 25 kg !

On a aimé On a moins aimé
  • Le design
  • Le confort
  • La disponibilité du moteur
  • Le silence
  • L’autonomie bien gérée
  • Les clignotants intégrés
  • Les poignées
  • L’écran minimalise, presque trompeur vu sa taille
  • Le poids

Vous avez aimé cet essai ? Retrouvez-ici tous nos tests de trottinettes électriques.

David Nogueira
David Nogueira

Journaliste, essayeur

A la fois curieux et passionné par la tech et les nouvelles mobilités, David aime s'attarder sur toutes les innovations qui nous facilitent la vie.


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