Aux antipodes du covoiturage, YKS1 se positionne sur le marché des microcars avec un véhicule strictement monoplace. Capable de s’incliner dans les virages, le Solo EV n’est pas sans rappeler son compatriote, le Carver.
Aux Pays-Bas comme en France, nombreux sont les conducteurs à être seuls dans leur véhicule. Mais plutôt que de chercher à un covoiturage imposé, YKS1 propose un véhicule à une place. Caractéristique assez évidente à la lecture de son nom. Un véhicule forcément beaucoup plus compact, plus léger et moins énergivore. Mais avec une telle conception, il est clair qu’elle ne sera pas pour tout le monde non plus. Impossible d’aller chercher vos enfants ou l’école ou chez la nourrice.
À lire aussiMobilize Duo : la nouvelle microcar électrique de Renault arrive en concession !L’avantage du Solo EV, c’est qu’il est conçu comme une « vraie » voiture. Pas de prestations au rabais. Il peut ainsi atteindre 130 km/h là où les quadricycles sont généralement limités à 45 ou 80 km/h selon leur catégorie (L6 ou L7). Son autonomie est également assez généreuse pour ce type de véhicule : 350 km. Trop généreuse ? Peut-être puisque le Solo EV affiche quand même 600 kg sur la balance.
Une de ses caractéristiques marquantes est la capacité à s’incliner dans les virages. Il rappelle en cela directement le Carver One, lui aussi venu des Pays-Bas, mais récemment décédé pour la seconde fois. Mais le Carver s’inclinait jusqu’à 45 degrés, tandis que l’engin de YKS1 est limité à 20 degrés. Et comme on le constate sur les photos, il s’agit d’un modèle à quatre roues, et non trois. En cela, on le rapprochera du concept Mercedes F400 Carving de 2001. En souhaitant à ce YKS1 Solo EV un avenir différent de ce roadster resté au stade de prototype.
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