Test Okai Neon Pro (ES30) : cette trottinette électrique nous a (agréablement) surpris

S’installer au guidon de la Neon Pro était l’occasion pour la rédaction de découvrir les produits de Okai. Une marque peu connue en France et qui, pourtant, nous propose ici une trottinette électrique étonnante… dans le bon sens du terme.

Si vous vous intéressez un tant soit peu aux trottinettes électriques, peut-être avez-vous eu l’occasion de lire des tests des produits de chez Okai et ses modèles appelés Neon. Le constructeur chinois nous a contacté pour nous proposer de tester sa toute dernière trottinette électrique, la Neon Pro ES30. Au sein du catalogue de la marque, celle-ci fait office de modèle haut de gamme, mais sachez toutefois qu’elle est vendue 799 euros.

Pour ce prix, le constructeur vous propose un engin plutôt intéressant sur le papier : moteur de 350 W nominal et 700 W en crête, vitesse maximale de 25 km/h et couple de 28 Nm, pneumatique 10 pouces, frein à disque, certification IP55, écran LCD couleur circulaire, connexion Bluetooth, châssis aluminium et, surtout, une batterie de 690 Wh (47V – 14,7 Ah) qui promet une autonomie très peu probable de 80 kilomètres. La Neon Pro a également d’autres petits arguments à faire valoir, place à notre verdict après plusieurs sessions de test.

A noter :
Avant toute chose, il nous faut préciser un point important. Pour son arrivée en France, Okai a dû limiter son réseau de distribution auprès d’un importateur référant nous dit-on, à savoir les boutiques « my cycle » de Dijon, Chalon-sur-Saône et Quetigny.
Avant la publication de ce test, la rédaction de Clean Rider a contacté les équipes des magasins pour nous assurer de la bonne disponibilité des trottinettes, comme la possibilité de les acheter y compris via de la vente en ligne. Les plus proches pourront aller découvrir les trottinettes sur place, pour les autres il faudra opter pour la livraison à domicile.

Conception de la Okai ES30

De manière assez classique, l’Okai Neon Pro est livrée démontée, mais avec ses outils pour procéder à l’assemblage. Rassurez vous : il faut moins de quinze minutes pour rendre la trottinette opérationnelle et, surtout, aucune connaissance particulière en bricolage. Il suffit de connecter les câbles qui sortent du guidon à ceux qui sortent de la colonne de direction. Puis on met ledit guidon en place et resserre la vis qui maintien le tout sur la colonne de direction, ainsi que celle du petit crochet qui pourra toujours servir à accrocher un sac, par exemple. Dans notre cas, un léger recentrage de l’étrier de frein arrière a permis de régler le bruit de frottement du disque contre les plaquettes, sans oublier de faire la pression des pneus.

Un cordon de soudure un peu grossier toutefois.

Première bonne nouvelle, la conception de cette Neon Pro dans son ensemble nous inspire une bonne sensation de robustesse. Sa structure en aluminium conçue d’une seule pièce pour le deck profite à la qualité des finitions : seul un cordon de soudure est visible. A y regarder de plus près, celui-ci est un peu grossier, mais ce qui nous intéresse le plus ici est bien qu’il résiste dans le temps aux secousses sur la route.

Même si la Neon Pro n’arbore pas un look aussi massif que certaines trottinettes comme la Segway P65E, celle-ci ne joue pas non plus dans la catégorie poids plume. En raison de ses roues de 10 pouces et sa grosse batterie lithium-ion de 14,7 Ah, l’engin accuse un poids conséquent de 21 kg. Celui-ci ne passera pas inaperçu si vous deviez porter l’engin à bout de bras pour gravir quelques marches, par exemple.

Sachez par ailleurs que la colonne de direction ne peut être réglée en hauteur et les poignées sont fixes, ce qui lui confère des dimensions assez imposantes, même une fois la colonne repliée. Dépliée, elle mesure 116,8 cm de long, 45 cm de large et 115,6 cm de haut. Repliée, seule la hauteur est réduite et passe à 43 cm.

Un système de pliage simple et pratique

Concernant le pliage, le dispositif « one-click folding » ne manifeste aucun problème de solidité sur cette trottinette encore neuve. On apprécie d’ailleurs le choix d’une section de tube plus grosse à cet emplacement pour renforcer la structure. Toutefois, nous nous interrogeons sur l’efficacité du mécanisme dans le temps. En effet, là où certains constructeurs ont adopté un mécanisme à double verrouillage (il faut souvent actionner un premier verrouillage mécanique pour débloquer le second qui permet d’abaisser la colonne), Okai mise sur un loquet unique autrement plus rapide et plus confortable à utiliser, mais peut-être plus fragile aussi. Celui-ci nécessite une petite attention particulière de votre part lors de la cinématique de pliage et dépliage.

Pour bien verrouiller la colonne, il faut pousser le loquet vers le bas, puis le rabattre dans son emplacement et relâcher. Seule cette manipulation permet de bien sécuriser le tout, autrement on a bien l’impression que le dispositif est en place, car il ne bouge plus, mais il ne sera pas totalement verrouillé. Sachez que nous l’avons bien brusqué lors des tests, aussi bien sur la route qu’en affrontant parfois les montées sur les trottoirs de manière un peu brutale et rien n’a cédé ni même souffert de bruits inquiétants. Nous pouvons enfin ajouter que l’ensemble de la trottinette est assez robuste, du deck en passant par le guidon ou les garde-boues qui ne bougent ni ne craquent sur la route.

Sur l’Okai Neon Pro, la petite béquille est bien intégrée, voire presque élégante même. Cependant, il nous est arrivé que celle-ci ne fasse pas toujours l’affaire pour immobiliser la trottinette dans toutes les situations. Il faut parfois composer avec l’inclinaison et même les défauts de la chaussée, car elle est un peu petite et très à la perpendiculaire du deck.

Okai fait aussi le choix d’un style assez minimaliste du côté du guidon où on trouve une petite gâchette, une sonnette, le levier de frein, un petit compteur LCD (nous allons y revenir) et un bouton multifonction. Celui-ci permet d’allumer la trottinette (pression rapide), mais aussi d’allumer les phares (une pression brève) et de changer le mode de conduite (double pression).

Une trottinette connectée et personnalisable

La suite des présentations passe par les fonctionnalités connectées de la Neon Pro ES30. D’ailleurs, la connexion à l’application mobile s’est très bien passée avec notre smartphone Android. La trottinette est rapidement détectée. Il faut néanmoins s’identifier, soit en créant un nouveau compte soit en rattachant son profil Google ou Facebook.

Vous accéderez ensuite à un tableau de bord reprenant certaines fonctionnalités comme la mise en marche de la trottinette, le choix du mode de conduite E, L et H correspondant aux modes Eco, Normal et Sport. Première petite critique, quel que soit le mode sélectionné, l’information ne change pas à l’écran de l’application mobile, seulement sur le petit écran de 3 cm de diamètre sur la trottinette.

Il existe également une fonction permettant de verrouiller la trottinette qui ne pourra être utilisée qu’une fois la chose désactivée depuis l’application mobile, ou avec le badge NFC livré. Attention Okai ne livre qu’un seul badge. Vous pourrez toutefois en acheter d’autres et les ajouter via une procédure dédiée dans l’application mobile.

Pour en revenir au tableau de bord, celui-ci affiche également la dernière position GPS de la trottinette, tout du moins la dernière enregistrée lorsque la trottinette était connectée à l’application mobile. Sitôt que la connexion Bluetooth est rompue, cela enregistre la position. Un grand classique sur ce type de produit qui, comme l’ES30 ne disposent ni de puce GPS ni de connexion internet pour remonter ses informations de géolocalisation.

Vous trouverez aussi une interface avec les informations de la batterie, un outil de diagnostic (sur 100 points) et l’historique de conduite. Deux fonctions clairement gadget, car même si on choisit de consulter l’historique de ses déplacements, celui-ci ne fait qu’indiquer la distance parcourue et celle-ci est totalement erronée. Sur nos sorties de plus de 30 kilomètres, l’application mobile n’a enregistré que des trajets de quelques kilomètres, comme si le suivi GPS via le smartphone se mettait en veille au bout de quelques minutes. Quant à la fonction de diagnostic, comme vous pouvez le voir dans la capture ci-dessus, le rapport indique bien que tout est normal, mais les dénominations des points testés ne sont pas traduites.

Malheureusement, l’application d’Okai souffre encore de nombreux bugsLes menus « réglages de conduite » sont parmi les plus intéressants. C’est là qu’on s’assure notamment que le logiciel de la trottinette est à jour (nous avons d’ailleurs téléchargé une mise à jour), mais aussi qu’on pilote les éclairages et l’interface du tableau de bord, ou plus précisément, du compteur. À la manière d’une montre connectée, il est possible de choisir son interface parmi une sélection de cadrans, mais l’application semble souffrir encore de quelques bugs d’affichage qui nous empêchent d’en avoir l’aperçu pour certains.

Nous vous partageons ci-dessous les modèles de compteurs que vous afficher à l’écran de la trottinette, quitte à les télécharger au préalable depuis l’application mobile.

Une personnalisation bienvenue, d’autant que l’un des cadrans permet de résoudre l’une des critiques que nous ferons à l’écran LCD, à savoir qu’il est trop petit pour bien lire les informations qui s’y affichent. Ainsi, changer le cadran permet d’améliorer la lecture de la vitesse ou de disposer d’une jauge d’autonomie beaucoup plus lisible, comme c’est le cas sur le compteur « sport », le dernier sur la galerie photo ci-dessus .

C’est également depuis l’application mobile que vous pourrez personnaliser la couleur et le style d’éclairage des rubans LEDs présents sur la colonne de direction ainsi que sous le deck. Deux dispositifs que nous n’avons utilisés qu’à l’occasion de nos déplacements à la nuit tombée mais aussi durant l’un de trajet par forte pluie. Le bandeau LED en façade permet d’être vu de loin par les autres usagers de la route ce qui est toujours bon à prendre.

Au guidon de la OKAI NEON ES30

Votre dévoué testeur, ici au guidon de cette trottinette Okai, tolère très mal l’absence de suspension sur les trottinettes électriques. C’est donc avec l’envie d’en découdre une nouvelle fois avec un engin dépourvu de suspension que nous nous sommes élancés sur nos routes tantôt dégradées et tantôt pavées.

Et quelle surprise de constater dès les premières centaines de mètres que, finalement, l’affaire ne se passe pas trop mal ! À tel point que nous déciderons d’un arrêt pour nous assurer que les pneus, gonflés la veille à 42 psi (suivant la consigne) ne s’étaient pas dégonflés. Et non ! Notre compresseur portatif – le modèle de Xiaomi qui nous accompagne dans chacun de nos tests pour nous venir en aide en cas de pépin – confirme que tout va bien.

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Un coup d’œil plus attentif sous le deck et la fourche à l’avant nous confirme bien que la chose n’a pas de suspension cachée que nous aurions manqué. C’est étonnant. Peut-être que les 8 cm d’épaisseur du deck et les pneumatiques 10×2.5” contribuent à filtrer les imperfections du terrain et même certains creux. Ne nous emballons pas, ce n’est pas parfait et il faut avoir en tête que les secousses ne sont jamais bien loin, comme quelques chocs un peu raides.

En effet, Okai fait le choix d’intégrer le moteur dans la roue avant, ce qui a pour conséquence d’en faire la roue la plus lourde et celle qui se heurte aux trottoirs par des montées plus ou moins dynamiques. Avec l’expérience, on prend l’habitude de tirer sur le guidon pour limiter l’impact. Sachez aussi que les mains peuvent pâtir lors des longs trajets du confort assez sommaire délivré par les poignées en plastique dur.

Heureusement, la position de conduite est plutôt bonne. Placé à 1 m de hauteur (environ) du deck, le guidon convient très bien à notre mètre soixante-quinze. C’est là une côte aujourd’hui assez classique, mais qui est selon nous une hauteur minimum à cibler pour un adulte si la colonne de direction ne propose pas de réglage en hauteur.

Concernant le deck justement, celui-ci mesure environ 17 cm de largeur et près de 50 cm de long ce qui permet là aussi d’adopter une position de conduite stable et sécurisante. Les jambes accompagnent l’engin dans toutes les situations et même les plus longs trajets de nos tests n’ont pas été fatigants. Quant à notre virée sous une pluie battante, sachez que la Neon Pro s’en est bien sorti. Ses larges garde-boue nous ont bien protégées des projections d’eau sur les pieds – attention ce n’est pas parfait – et les motifs saillants sur le deck assurent une bonne adhérence sous la semelle de nos baskets.

Circuler au guidon de l’Okai Neon Pro s’est avéré plutôt rassurant également en raison du freinage qui s’est montré plutôt efficace lui aussi. On regrette toutefois que l’application mobile ne permette pas d’ajuster la puissance du frein moteur. Celui-ci est bien présent et il se fait d’ailleurs très bien ressentir lorsqu’on actionne le levier de frein, mais il pourrait être plus puissant encore dans cette logique de freinage combiné. Cela aurait permis de réduire encore un peu l’usure du frein mécanique tout en offrant plus de mordant à l’ensemble.

Quoi qu’il en soit, la Neon Pro fait partie de ces trottinettes qui ne payent pas de mine et qui s’avèrent pourtant plutôt volontaires. Malgré notre poids de près de 90 kg, l’engin s’est montré polyvalent et plutôt disposé à nous accompagner jusqu’à 25 km/h dans les différentes situations de notre parcours de test.

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Naturellement, aborder une route à fort dénivelée n’est pas sans conséquences sur ce moteur de 350 watts, mais pour être plus à l’aise, il faudra aussi dépenser un peu plus. D’ailleurs, si vos trajets du quotidien impliquent des routes avec beaucoup de relief, privilégiez plutôt les modèles doté d’un moteur de 600 watts et plus (en fonction de votre poids bien sûr) de puissance nominale – et idéalement, deux freins mécaniques à disque ou à tambour.

Dans l’ensemble, la tenue de route est bonne et la conduite sécurisante, mais il est vrai qu’à la fin de nos différents essais, on se dit tout de même que des poignées un peu plus confortables n’auraient pas été du luxe, comme la présence de suspensions d’ailleurs, mais c’est une autre histoire… de coût.

D’ailleurs sur ce point il est très étrange de lire sur l’un des sites internet d’Okai que la Neon Pro est dotée de pneumatiques 10 pouces ainsi que d’une suspension qui semble dissimulée dans le châssis. Nous pouvons vous assurer, tests à l’appui, que rien ne semble fléchir sous notre poids lorsqu’on sautille sur le deck. Nous n’avons pour l’heure pas de retour de la part du constructeur sur ce point.

Autonomie et recharge

Nous n’avions aucun espoir d’atteindre les 80 km d’autonomie annoncés par Okai au guidon de la Neon Pro ES30. Pour autant, avec sa batterie 47 V offrant une capacité de 14,7 Ah (690 Wh), cette trottinette fait partie des plus endurantes avec une autonomie que nous avons mesurée à près de 45 km selon notre itinéraire de test et avec une température extérieure d’environ 15 degrés.
Quelle excellente surprise de constater qu’après avoir bouclé notre parcours de test d’environ 25 km, la jauge affichait encore près de la moitié du plein en réserve. Il nous a fallu entamer le dernier quart de la batterie pour noter les premières pertes de puissance, ce qui n’est pas si mal.

Les cellules Lithium-Ion de type 21700 montrent une nouvelle fois leur efficacité en matière de densité énergétique qui offre des performances intéressantes à cette petite trottinette.
Peut-être alors ne serez vous pas obligé de la recharger tous les jours, mais sachez que cela prend du temps de refaire le plein. Comptez environ 8 heures, c’est considérable ! Cela reste encore l’une des grandes contraintes de ces trottinettes qui sont trop souvent encore livrées avec des chargeurs peu puissants, en l’occurrence ici un modèle de 54,6 Volts délivrant seulement 2A.

L’explication souvent évoquée par les constructeurs est qu’il est important pour cette petite batterie ne disposant d’aucun mécanisme de refroidissement (notamment) de ne pas être trop stressées pendant la charge. Mieux vaut recharger doucement et préserver les cellules plutôt que de prendre des risques, d’autant que le surcoût engendré par le choix d’un chargeur plus puissant serait considérable et difficile à justifier auprès des clients.

Quoi qu’il en soit, pour aider à faire passer la pilule, Okai prévoit quelques petites attentions qu’on accepte volontiers. Du côté du chargeur, sachez que la grande longueur de câble (environ 2m) n’est pas qu’un simple détail lorsqu’il est question de mettre l’engin en charge. Nous apprécions aussi l’emplacement du connecteur de charge, sur le flanc du deck, qui est non seulement plutôt facile d’accès, mais, surtout protégé par une petite trappe basculante autrement plus agréable et durable dans le temps aussi que les caches en caoutchouc souvent pénibles à replacer.

Enfin, lorsque la trottinette est en charge, la bande de LEDs sur la colonne de direction matérialise le niveau de la batterie par une jauge qui se remplit au fur et à mesure avec une petite animation telle des gouttes d’eau qui remplissent doucement un réservoir. Il est naturellement possible de désactiver cela, mais il faut bien reconnaître que c’est très pratique – et absolument pas discret si vous refaites le plein au bureau.

Essai de la Okai Neon Pro ES30 : le verdict de Cleanrider

Sans innover, l’OKAI Neon Pro a pour elle une forme d’originalité dans son design qui sera la bienvenue sur la route. Avec sa conception bi-ton et ses LEDs, l’ES30 a parfois attiré l’œil des personnes que nous avons croisées sur la route.

Plus important, cette trottinette s’est avérée endurante et volontaire sur notre parcours de test, conséquence de quoi nous avons pris plaisir à l’utiliser sans redouter ni même être confrontés à de mauvaises surprises. Freinage, puissance, autonomie et tenue de route sont de solides arguments, mais pour parfaire le tout nous aurions apprécié que son compteur soit un rien plus grand pour offrir une meilleure lisibilité encore, et que des suspensions à l’arrière améliorent encore le confort.

Pour conclure, rappelons que si ce produit vous plaît, il vous faudra composer avec son mode de commercialisation. A l’heure où nous publions cet article, celle-ci n’est disponible que dans les boutiques mentionnées plus haut dans l’article. Si votre budget est plus limité, vous pouvez vous rabattre sur l’ES10 ou l’ES20, moins chères mais surtout moins performantes que l’ES30 que nous vous proposons à l’essai.

On aime On aime moins
  • Le bon comportement sur la route
  • L’autonomie
  • Les fonctions connectées
  • La visibilité de nui
  • Le compteur un rien trop petit
  • L’application mobile perfectible
  • La distribution quelque peu limitée

David Nogueira
David Nogueira

Journaliste, essayeur

A la fois curieux et passionné par la tech et les nouvelles mobilités, David aime s'attarder sur toutes les innovations qui nous facilitent la vie.


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Louis
1 année il y a

Je trouve assez remarquable la puissance en crête (surtout par rapport à celle nominale) mais je me demande s’il y a du risque de surchauffe quand le moteur est sollicité à fond quelques secondes de plus

Louis
1 année il y a

/// si vos trajets du quotidien impliquent des routes avec beaucoup de relief, privilégiez plutôt les modèles doté d’un moteur de 600 watts et plus […] de puissance nominale \\\ Est-ce qu’une trottinette avec plus de 500W nominals est considèré un cyclomoteur ?